« Bien sûr qu'on peut rire et pleurer à la fois ! Ce n'est pas plus bizarre qu'un arc-en-ciel qui naît de la pluie et des rayons du soleil... »
NOM(S) ▽ Rousseau PRÉNOM(S) ▽ Léa Juliette Marie ÂGE ▽ 22 ans LIEU ET DATE DE NAISSANCE ▽ Paris, 14 avril 1989 STATUT ▽ célibataire OCCUPATION ▽ institutrice primaire GROUPE ▽ les actifs AVATAR ▽ Nina Dobrev
Et Paris qui bat la mesure,
☞ ALORS ALORS, MON PETIT, ASSIEDS-TOI PAR ICI. N'AIE PAS PEUR, JE NE MANGE PAS ENCORE. SI JE TE DIS PARIS, TU ME RÉPONDS QUOI ? CE QUI TE PASSE PAR LA TÊTE, VAS-Y, LANCE-TOI ; Paris, c’est l’endroit le plus magique du monde, ma ville, mon repère. J’ai toujours vécu ici et je ne me verrais vivre autre part d’autre parce que la capitale est une des plus grandes parties de ma personne. Je ne saurais vivre sans Paname même si tous les évènements que j’ai vécus ici ne sont pas roses. Malgré tout ça, malgré la mort de Papa, les gens que je déteste et un amour impossible, je ne me verrais quitter Paris pour rien au monde. Et puis, que feraient mes élèves si je décidais de les quitter ?.
☞ ET SINON, TU AS TOUJOURS VÉCU ICI ? TA VIE A TOUJOURS RIMÉ AVEC "MÉTRO, BOULOT, DODO" ? ; Comme je l’ai déjà dit, je suis une parisienne pur jus. Cependant, ma vie n’a jamais été une répétition continuelle des mêmes actions. J’aime que ça bouge, que ça explose, découvrir de nouvelles choses, faire de nouvelles expériences. Je n’ai jamais été une grande flemmarde et c’est ce qui m’a poussé à apprendre les langues d’ailleurs, à aller visiter des musées, voir des films ou des pièces de théâtre. La ville regorge de merveilles, autant en profiter. De plus, avec l’accès qu’avait mon père de par son statut élevé dans la société de la capitale, j’ai pu faire beaucoup de rencontre différente donc ça m’a permis de ne pas suivre l’adage « métro, boulot, dodo ».
☞ ET LES PARISIENS, T'EN PENSES QUOI ? PERSONNE NE NOUS ENTEND, CONFESSE-TOI MON ENFANT ; Ca dépend desquels ! La plupart sont sympas, parfois un peu trop pressés, mais tout le monde est comme ça, moi la première. Aussi non, bien sûr, il y a des personnes que je ne supporte pas. Après, vous avez les ragots comme quoi les porrigos sont des personnes méchantes, impolies et j’en passe des meilleures, mais ce ne sont que des bruits de couloirs de personnes jalouses de ne pas être un habitant de la capitale. Si elles venaient habiter ici, ces personnes se rendraient compte qu’on est pareil à eux qui vivent dans leur bled paumé du fin fond de la Normandie (ne voyez là aucun propos contre les personnes habitants cette région, c’est juste un exemple pris au hasard).
☞ MAIS SINON? TU ES PLUTÔT PARIS DIURNE OU PARIS NOCTURNE ? ; Paris diurne. Je vis le jour. J’ai un travail, des amis et bien que j’aime faire la fête et que Paris est somptueuse la nuit, je préfère quand même me lever le matin et voir la grisaille au-dessus de nos têtes, me promener sous la pluie dans les jardins du Luxembourg et aller donner cours à des petits bouts de 7-8 ans qui, bien qu’ils ne veulent pas se lever tôt, sont contents de venir en classe chaque matin. De plus, je n’ai jamais été du genre à vivre le Paris nocturne. J’ai l’impression que cette vie est faite pour la jeunesse dorée, ceux qui ont un tas de fric à claquer et qui ont un avenir tout tracé. Certes, je suis issue de la petite bourgeoisie parisienne, mais jamais au point d’aller dépenser une tonne d’argent en champagne dans le carré vip d’une boite de nuit branché. Pour moi, c’est too much.
☞ T'AS FORCÉMENT DES PROJETS POUR LE FUTUR, JE ME TROMPE ? ; Oui, j’en ai comme tout le monde. J’aimerais me marier, avoir une belle maison et des enfants. C’est ridicule, je l’avoue, mais c’est vraiment quelque chose qui me tient à cœur. Fonder une famille est quelque chose de très important pour moi qui n’ai jamais vécu qu’avec mon père jusqu’à mes 15 ans. Et puis, travailler avec des enfants tous les jours, vous donne encore plus envie de vivre les joies de la maternité. J’aspire juste à une vie simple avec l’homme que j’aime…même si pour le moment ce dernier est marié et donc qu’il est impossible de construire quelque chose avec.
☞ MERCI DE M'AVOIR RÉPONDU MON CHATON, PROFITE DE PANAME ET DE TOUS SES CHARMES ; Je n'y manquerais pas !
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UN OBJET. son stylo. ♘ UN LIVRE. Justine Lévy, Rien de Grave. ♘ UNE COULEUR. l'orange. ♘ UN FILM. Jeux d'enfants. ♘ UNE PIERRE PRÉCIEUSE. le diamant. ♘ UN TABLEAU. ceux des enfants. ♘ UN PARFUM. Scarlett de Cacharel. ♘ UNE DROGUE. et si on prend rien ? ♘ UN PLAT. un moelleux au chocolat. ♘ UN ANIMAL. le chien. ♘ UNE SAISON. l'été. ♘ UN ÉLÉMENT. l'eau. ♘ UN MYTHE. l'Illiade. ♘ UN SENTIMENT. l'amour. ♘ UN PROVERBE. "Aux grands maux les grands remèdes". ♘ TON RÊVE DE BONHEUR. que ses parents soit toujours en vie. ♘ PAYS OÙ TU DÉSIRERAIS VIVRE. l'Afrique du Sud, mais la France lui convient bien. ♘ HÉROS DANS LA VIE RÉELLE. son père, il a toujours été son héros. ♘ COMMENT AIMERAIS-TU MOURIR. vieille et heureuse entourée de sa famille. ♘ TA DEVISE. Paulo Coelho, "Il n'y a qu'une chose qui puisse rendre un rêve impossible : c'est la peur d'échouer".
Spoiler:
Dès qu'j'te vois, je sais qu'c'est toi
Bon ben moi, c'est Laura, j'ai 16 ans - 17, le 18 avril - et je suis une p'tite belge qui vit dans son bled paumé au fin fond du pays des frites et du chocolat. A part ça, j'adore le forum, je voulais féliciter les admins ! Le design est magnifique, c'est vraiment superbe et ça donne envie de s'inscire. C'est d'ailleurs pourquoi je suis là So félicitations à vous, c'est vraiment un très beau travail et puis, le contexte simple et super attrayant parce qu'il offre beaucoup de possibilités A part ça, j'adore les mps donc n'hésitez pas à me harceler et puis, je vous aime
Dernière édition par Léa Rousseau le Jeu 16 Fév - 21:12, édité 14 fois
▽ Ecrire des lettres, c'est se mettre nu devant les fantômes ; ils attendent ce moment avidement. Les baisers écrits ne parviennent pas à destination, les fantômes les boivent en route.
Maman,
J’espère que vous êtes biens où vous êtes, toi et papa, au moins vous êtes enfin réuni et en paix. Moi qui t’avais arraché à la vie parce que je voulais pousser mon premier cri, oh Maman, je te demande pardon encore une fois pour t’avoir empêché de vivre la vie de princesse à laquelle tu avais droit. Je n’ai jamais voulu grandir sans toi et encore moins laisser Papa tout seul avec le portrait craché de sa défunte épouse devant les yeux. Heureusement pour moi, il s’est occupé de moi et n’a pas fait comme la plupart des hommes, c’est-à-dire m’abandonner ou pire, me garder, mais ne jamais s’occuper de la fillette que j’étais. Il a été là chaque nuit que je faisais un cauchemar, chaque fois que je mouillais mes draps, chaque peine de cœur à l’adolescence, chaque moment de joie, chaque pas que j’ai fait vers la vie d’adulte. Il m’a toujours été d’un grand soutient, alors que je lui avais pris la personne qui comptait le plus pour lui. Tu sais, tu avais de la chance d’avoir rencontré Papa. Je crois sincèrement qu’à nous trois, on aurait formé une magnifique famille, une de celle que tout le monde envie, mais je ne t’ai pas laissé le choix. Maman, il a mis du temps à s’en remettre. Pendant 15 ans, j’ai vécu seule avec lui. Peut-être lui rappelais-je trop la femme qu’il avait jadis aimé qu’il ne voulait pas refaire sa vie. Cependant, lors de ma quinzième année, j’ai été étonnée d’apprendre qu’il se remariait. J’étais si heureuse pour lui que je tombai de haut quand j’appris avec qui c’était. Oh non, Maman, ma belle-mère est une femme charmante – moins que toi, c’est sûre, mais c’est une personne adorable et très gentille pour le peu que nous passons du temps ensemble –, c’est sa fille le monstre ! Olivia qu’elle s’appelle cette garce ! Ne m’en veux pas pour les termes employé, je ne fais que dire la vérité. Cette fille est une vraie plaie. Elle était mon contraire, tout ce que j’avais toujours détesté chez les autres vivait à présent avec moi. Je ne sais pas combien de temps j’allais devoir la supporter, au moins trois ans que je m’étais dit à l’époque. C’est vraiment quoi ! Comment peut-on cohabiter avec son parfait opposé ? Tu aurais pu, toi ? En général, je ne me vante pas – d’après les autres, je suis même d’une modestie exagérée –, mais là, je crois que j’ai eu beaucoup de courage. Heureusement que Papa était là. Toujours à calmer mes angoisses, il savait ce qu’il devait faire quand il voyait que j’allais m’énerver : il me demandait de parler une langue étrangère. Il disait toujours que ça lui faisait plaisir de m’entendre parler en anglais, en allemand ou encore en portugais. Pourtant, la vie ne me fit pas de fleurs. Après t’avoir tué parce que je voulais vivre, la vie elle-même me prenait la personne que j’aimais le plus au monde. 17 ans, voilà l’âge que j’avais quand il est venu te rejoindre. J’ai eu mal, très mal, comme si on m’arrachait la plus grande partie de mon être. Pourtant, il a bien fallu que je me ressaisisse. Je savais très bien qu’il ne voulait pas ça, qu’il ne voulait pas me voir pleurer toute la journée. Alors je m’y suis habituée, à son absence, mais, au fond de moi, j’avais toujours cette blessure ouverte, inguérissable et béante qui ne se refermerait peut-être jamais. J’ai continué à vivre. De plus en plus, j’ai commencé à fréquenter les amis de belle-maman et surtout les Bentley, de grands amis à elle, surtout la mère. Olivia semblait très proche du fils de cette amie de la veuve de Papa. Il s’appelle Mathieu. C’est un très beau jeune homme je suis sûre que tu l’apprécierais et puis, il est très gentil, un homme avec un grand cœur. On a commencé à passer plus de temps ensemble, je m’entendais bien avec lui et puis, il a aussi perdu un être cher alors ça rapproche. Tout en continuant notre vie – je suis devenue institutrice un peu pour te rendre hommage et parce que je me suis rendue compte que, bien qu’issue d’une famille ayant de l’argent, je ne voulais pas d’un métier exceptionnel tel qu’avocat ou médecin, mais un boulot qui me faisait voir du monde –, nous nous sommes rapprochés. Si je te parle de lui, ce n’est pas anodin. C’est le premier duquel je te parle…Oui, c’est vrai, je ne t’ai jamais écrit avant pour te parler de quelque chose, mais bon, voilà quoi. Malheureusement, il a épousé ma sœur ! Et oui, tu as bien lu, il a épousé Olivia, c’était il y a quelques mois. Depuis, je vis comme je peux. Mon humeur oscille entre l’envie de tuer cette garce et de pleurer toutes les larmes de mon corps, mais je fais avec. Après, je n’ai pas d’autre choix donc voilà. Pour me venger, le jour du mariage, j’ai fait quelque chose dont j’ai horriblement honte. Quoi ? Un strip-tease. Et oui, je suis montée sur une table et je me suis déshabillée devant tout le monde comme quoi la rancune amène à faire des choses complètement débiles. Par chance, aucun parent d’élève n’était présent à la cérémonie. Aurais-tu imaginé l’image que j’aurais pu donner de moi ? Il n’aurait plus voulu me laisser leur enfant et comme Susan, je me serais retrouvé sans emploi. Je n’aurais pas survécu !
Il faut que je file ! Bisous à Papa, je t’aime !
Léa.
Dernière édition par Léa Rousseau le Jeu 16 Fév - 20:47, édité 12 fois
Merci Peeta Dis, par hasard, tu ne serais pas Luffy sur Choisis ton appart ? Si c'est pas toi, j'aurais l'air d'une cruche, mais c'est pas grave
EDIT - Fiche terminée Par contre, je pars demain pour une semaine au Bénin avec l'école. L'autre personne devant encore finir sa fiche, ça ne pose donc aucun problème de lui laisser un peu de temps. Cependant, sachez que je ne reviens que le 25 février. Si je suis choisie, je ne pourrais donc par rp avant cette date, désolée :/
Personnellement j'adore (a) c'est tout a fait l'image que je m'étais faite de Léa. En ce qui concerne la seconde Léa, elle n'a pas touché a sa présentation et ne s'est pas connectée depuis mercredi . + pas de soucis pour l'absence (:.
Romane Lissajoux NATURAL DISASTER ☇ now you're on an open road so gone not looking back.
Merci, Mathieu, je suis contente que ça te plaise Je suis rentrée hier, je suis passée sur le forum en coup de vent pour voir quoi, mais j'étais trop crevée (vol de nuit et deux heures de sommeil) pour m'attarder sur l'ordi :/ Malgré tout, aujourd'hui, je suis là et je compte bien combler tes attentes au niveau de Léa Merci, Romane pour la validation